Cultivés sur une surface d’environ 4,5 ha c’est la principale production
Pour obtenir une qualité maximale nous agissons sur plusieurs facteurs :
Nous n’implantons cette culture sur la méme parcelle que tous les 4 à 8 ans suivant le terrain
Les cultures qui précédent sont conduites de façon extensive afin de ne pas appauvrir le sol (céréales ,légumineuses ainsi laissent un sol bien structuré et pourvoient le sol d’azote naturelle) le complément d’engrais organique rééquilibre celui-ci pour avoir des melons de qualité maximale sur notre terroir
Nous avons une densité de plantation relativement faible d’où :
-plus de lumière au niveau du feuillage de la plante
(le sucre étant synthétisé par la photosynthèse dans la feuille qui capte l’énergie solaire )
-plus de volume de terre pour nourrir la plante
Nous favorisons ainsi le développement harmonieux de celle-ci ce qui la rend plus résistante aux parasites (mildiou ,oïdium, bactériose,insectes… )
Les traitements naturels additionnés d’un peu de Bouillie bordelaise et de soufre sont ainsi suffisants et moins agressifs pour la plante et l’environnement .
Cueillette à maturité le matin suivie du calibrage.
Refroidissement immédiat de la récolte à 10° même pour la vente du lendemain (conservation des qualités gustatives du melon, un melon récolté à 30° s’échaufferait vite et serait moins bon )
Choix des meilleures variétés adaptées à notre terroir
Apport d’oligo-éléments contenus dans des roches ,des algues ou des tisanes de plantes (lithotame,ortie,consoude…) afin d’augmenter la résistance des plantes aux agressions du climat et des parasites (insectes et champignons )
Respect des insectes prédateurs d’autres insectes ,comme la coccinelle qui dévore les pucerons.Achat de trichogrammes (mini-insectes qui pondent dans les œufs de la Pyrale)
Désherbage mécanisé (à l’aide du vibroculteur ,de la bineuse, ) ou manuel pour les herbes au pied.
Le paillage plastique protégeant les environs de la plante des mauvaises herbes (brûlées par solarisation ) de l’évaporation permet une économie de l’eau d’irrigation.
Ce paillage étant bien sûr recyclé . Nous avions essayé le paillage à base d’amidon l’expérience fut arrêtée parce qu’il attirait le ver du taupin rendant les melons non commercialisables